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Cлово "AUTRE"


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1. Легра Ж. - Чехову А. П., 12 октября 1892 г.
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2. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 28 мая 1897 г.
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3. Голлер Э. - Чехову А. П., 20 августа/1 сентября 1899 г.
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4. Голлер Э. - Чехову А. П., вторая половина марта 1902 г.
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5. Голлер Э. - Чехову А. П., 9/21 сентября 1898 г.
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6. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 17/29 июля 1897 г.
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7. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 17/29 августа 1897 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Легра Ж. - Чехову А. П., 12 октября 1892 г.
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Часть текста: serais bien aise de savoir vos intentions avant de partir. Vous me diriez, par exemple, si vous avez vraiment l’intention que vous a prêté notre ami Nicolas Petrovitch, puis, de quel volume il s’agit, puis quelles seraient les conditions, enfin à quel éditeur vous comptez confier la publication. Voilà une lettre toute d’affaires: j’aurais infiniment préféré causer de tout cela chez vous ou à Kournikovo, devant un verre de thé; mais en tout état de cause cela nous aura un peu rapprochés, et j’en suis fort heureux. Je suis en ce moment occupé, devinez à quoi! — à revoir les épreuves de la traduction allemande d’un littérateur, que je ne connais pas et qui ne sait même pas mon vrai nom, fait d’un livre que j’ai publié sur Berlin 2 . La situation ne manque pas de piquant. Je vous écris en français mais vous pouvez, et je vous prie même, me répondre en russe: on est toujours beaucoup plus net dans sa langue maternelle que dans toute autre. Veuillez croire, monsieur, à mes meilleurs sentiments: comme voisins de campagne et comme collègues, nous sommes doublement unis! Jules Legras . P. S. Excusez la tache ci-jointe — ma lettre a traîné sur ma table, et la bonne a...
2. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 28 мая 1897 г.
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Часть текста: avant mon départ, de parfaire ma traduction, — et d’ailleurs je n’étais pas fâché d’être un peu familiarisé avec la vie russe pour rendre plus sûrement certains détails. L’information de “Бирж<евые> вед<омости>” me donne une occasion presque nécessaire de vous envoyer, dès que je serai rentré à Paris, dans une quinzaine de jours, ce que j’avais traduit de vos œuvres... ainsi que mon propre livre 2 . Mais il m’a été donné, Monsieur, depuis que je suis ici de connaître votre dernière œuvre Мужики 3 , dont j’ai goûté infiniment, ainsi que toute la critique et tant de personnes avec lesquelles j’en ai parlé, la vérité ramassée et aigue. Un Russe a bien voulu me les lire d’un bout à l’autre et me les commenter 4 . Il serait, peut-être, préférable de les traduire, — si cela n’est pas encore fait, — pour la revue dont je vous ai parlé, ou pour toute autre, ou pour quelque grand...
3. Голлер Э. - Чехову А. П., 20 августа/1 сентября 1899 г.
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Часть текста: fleurs qui portent — comme on dit — bonheur et cure; on m’a dit que vous êtes souffrant; je veux, je le désire de toute mon âme que votre santé vous reviendra, et c’est pourquoi je vous envoie эти цветы для счастья! La santé c’est le bonheur, n’est-ce pas? — La lecture de vos livres me fait beaucoup, beaucoup de joie . Ce qui m’a touché profondément , c’est “ Кошмар ” , pauvre cher “ отец Яков ”. “ Враги ” c’est aussi très, très joli — mais je ne suis du tout contente avec le docteur qui pouvait avoir “ plus de cœur avec l’autre homme ”. “ На пути ” est triste et superbe 2 . Excusez, je vous prie, mon audace de critiquer vos œuvres, mais voilà, ça me fait un tel plaisir de lire et de pouvoir dire un mot là-dessus. — Vous trouverez, peut-être, ma causerie bien embêtante, — sans doute, mais je ne suis une femme lettrée, ni une femme savante, ni spirituelle, — j’ignore chaque science et j’aime seulement ce qui est beau. — Si vous vouliez bien me dire une fois un mot et si vous restiez encore à Yalta, je vous serais très, très reconnaissante. — Je vous promets de ne pas vous agacer avec mes lettres stupides — mais — voilà — c’est si bon de savoir où notre âme peut s’envoler pour rendre visite au gens qu’on chérisse beaucoup. Здравствуйте, Антон Павлович. Эльза Антоновна . NB. N’être plus qu’une âme par la contemplation. Emile Zola 3 Ne riez pas trop de ma peinture! 4 Перевод 1*: 18 1/9 99...
4. Голлер Э. - Чехову А. П., вторая половина марта 1902 г.
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Часть текста: Э. - Чехову А. П., вторая половина марта 1902 г. <Вторая половина марта 1902 г.>, Будвейс Budweis. Bohême. Австрия 1902 Милостивый государь, Антон Павлович, Христось воскресь! — Et la lumière nous entoure de toutes côtées, et l’âme tremble et se remplie de joie et d’espérance! <2 нрзб. > peut-être. Dans votre drame “Три сестры” j’aime surtout Olga , pas cette Macha — du tout Natacha, celle-ci est comme toutes les femmes... Et Irina? Elle ne sait ce qu’elle veut mais non plus!!! Bien à vous de sympathie! Elsa Goller . Mais la vie est tout de même un esclavage — et j’espère tomber mieux dans — ? 1* l’autre monde. Mais j’espère qu’il n’y a pas un “ audélà ” — on a assez quand on a vécu une vie. Перевод: Будвейс. Богемия. Австрия. 1902 г. Милостивый государь , Антон Павлович , Христось воскресь . И сияние окружает нас со всех сторон, и душа трепещет и преисполняется радостью и надеждой! <2 нрзб. > быть может? В Вашей драме “ Три сестры “ я особенно люблю Ольгу — не эту Машу — совсем не люблю Наташу, она такая же, как все женщины... А Ирина? Она не знает, чего хочет, только и всего!!! Преисполненная симпатии к Вам! Эльза...
5. Голлер Э. - Чехову А. П., 9/21 сентября 1898 г.
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Часть текста: gentille ce coin d’une petite provinciale qui s’occupe à gâter des papiers ou lettres et de traduire les écrivains russes. — Comme vous avez l’air doux! très doux! Comme si jamais une souffrance aigre n’eût traversée votre âme candide et pure. C’est à votre portrait que je m’adresse: la vie? — la vie est souvent une autre chose, plus dure et plus cruelle, et nous semblons pourtant si contents et si heureux de voir et respirer cette coulée de lumière d’or du soleil. Suis-je embêtante, n’est-ce pas? Adieu, je m’en fuis! Mille saluts respectueux et cordiales Elsa Goller . Перевод: Будвейс. 18 21/9 98. Милостивый государь, Примите мои наилучшие пожелания и извините в то же время мой маленький каприз, который вызвал у меня желание украсить Вашим именем этот ни в чем неповинный листочек почтовой бумаги. Это ужасно, не так ли? На моем письменном столе стоит великолепный портрет, уже обрамленный изящной рамкой и под стеклом, — и Вы глядите оттуда с простодушным и чрезвычайно милым удивлением на этот уголок провинциалочки, которая занимается маранием бумаги или писем, а также переводом русских писателей. — Какой у Вас кроткий вид! очень кроткий! Словно жгучее страдание никогда не проникало в Вашу искреннюю и чистую душу. Именно к Вашему портрету я обращаюсь: жизнь?...
6. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 17/29 июля 1897 г.
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Часть текста: elle fut vérifiée par un très aimable secretaire qui sait bien le russe; mais justement la Revue de Paris va publier dans son prochain numéro une autre nouvelle de vous pour laquelle elle avait engagement 1 . Dans ces conditions je crois que ce qu’il y a de mieux est de remettre votre œuvre à la revue dont je vous ai parlé: à la Quinzaine où on pourra la faire précéder d’un préambule en soulignant l’importance. Je vais y envoyer aujourd’hui mon manuscrit en demandant à quelle date il sera imprimé 2 . Si je ne vous ai pas encore soumis de traduction comme je vous avais dit devoir le faire, c’est que je n’avais personne pour en prendre copie et que c’est assez long. J’en ai une enfin — d’une écriture peut-être un peu menue, — et je vous l’adresse en même temps que ma lettre. Je vous serai bien...
7. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 17/29 августа 1897 г.
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Часть текста: Je serai très heureux de recevoir de vous la lettre détaillée dont vous me parlez. Mais, peut-être, me donnerez-vous des indications dont je ne pourrai pas profiter, au moins pour la première partie des Moujiks (les 4 premiers chapîtres). Le dérangement que m’a causé mon service militaire et un autre petit déplacement qui j’ai fait m’ont empêché de vous faire savoir ce qui s’est produit depuis ma dernière lettre. La direction de la Quinzaine a trouvé vos Moujiks fort intéressants et a décidé de les publier tout de suite en deux parties: j’ai corrigé les épreuves de l’une qui va paraître le 1-er 7-bre de notre style 1* , c’est à dire dans trois jours et que je vous fairai adresser sur-le-champ; la seconde partie paraît le 15 7-bre. On a mis un petit préambule un peu écourté. Tel quel je souhaite bien qu’ill vous satisfasse 3 . Croyez moi, cher...