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1. Голлер Э. - Чехову А. П., 22 июля/4 августа 1901 г.
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2. Легра Ж. - Чехову А. П., 30 августа 1894 г.
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3. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 10/22 сентября 1900 г.
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4. Голлер Э. - Чехову А. П., 29 июня/11 июля 1899 г.
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5. Легра Ж. - Чехову А. П., 17/29 мая 1894 г.
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6. Голлер Э. - Чехову А. П., 31 декабря 1900/13 января 1901 г.
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7. Голлер Э. - Чехову А. П., 11/23 апреля 1899 г.
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Голлер Э. - Чехову А. П., 22 июля/4 августа 1901 г.
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Часть текста: n’espérais plus de recevoir encore une fois dans ma vie de vos nouvelles — et pensez donc, Антон Павлович, bien souvent je priai: “Mon dieu, dis donc a Mr Чехов qu’il ne m’oublie pas tout a fait, qu’il pense de temps à temps à moi comme je pense de temps à temps avec amitié et sympathie à lui”... Et voilà — Бог выслюшает! — Permettez-moi de vous serrer les mains et de vous redire toute ma profonde et sincère sympathie. Bien à vous, monsieur, Elsa Goller . Перевод 1* : “ На даче ” Брюнель в Граце. Южная Чехия 4.8. 1901 Милостивый государь Антон Павлович , Вы смотрите на меня и улыбаетесь мне, и я нахожусь там, вблизи от Вас, говоря и повторяя: спасибо, спасибо! Это явилось таким милым, совершенно неожиданным сюрпризом — получить Ваш портрет 2 и узнать, что Вы не совсем бросили меня в пропасть забвения! Так хорошо делается на душе и на сердце, так хорошо, так хорошо, так хорошо!!! Вы не понимаете это — потому что сам славный i известный , “эти дети, избалованные богами”, не понимают тех, кто таковыми не являются! — Я уж и не надеялась еще раз в жизни...
2. Легра Ж. - Чехову А. П., 30 августа 1894 г.
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Часть текста: votre frontière, pour qu’il me fût possible de vous écrire. En ce moment, arrivé d’Arkhangel, j’attends ici le bateau qui doit me conduire à Vologda. C’est vous dire que dans 10 ou 12 jours je pense être à Moscou. Si j’apprends là-bas que vous êtes à Мелихово, j’irai vous y voir sans tarder, car j’ai hâte de causer avec vous dans votre petit coin, dans votre cabinet, tout rempli de fioles pharmaceutiques — et de m’assoir sur le large divan, au dessus duquel flamboie la petite aquarelle que j’aime tant: quelques bouleaux éclairés par un soleil couchant 1 . НАЧАЛО ПИСЬМА Ж. ЛЕГРА ЧЕХОВУ Великий Устюг, 20 августа 1894 г. Автограф J’ai vu beaucoup d’intéressant dans votre nord, mais je vous assure que, malgré tout, Moscou m’attire, et que j’éprouve une véritable Sehnsucht. Je suis, bien entendu, sans nouvelles de chez moi, comme aussi sans nouvelles de Moscou: j’ignore donc si Nicolas Pétrovitch est encore à Kournikovo. Nous verrons, en tout cas. Je ne pourrai pas, de toute façon, m’arrêter au village, car il me faudra aller encore à Ясная Поляна, puis dans le gouvernement d’Орел chez un ami qui m’attend depuis longtemps. Mais j’ai un vif désire de me retrouver là-bas. C’est en somme un des coins de Russie où j’ai passé les jours les plus agréables. J’attends avec impatience la publication de votre Сахалин en volume. Que faites-vous en ce moment? Et le vin? est-il...
3. Рош М. -Д. - Чехову А. П., 10/22 сентября 1900 г.
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Часть текста: de “В овраге” 1 . Si, l’ayant lue, ou quelqu’un auprès de vous, vous vouliez bien m’indiquer ou me faire indiquer les erreurs que j’ai pu faire, je vous en serais fort obligé. Cette traduction en effet va figurer dans le volume dont je vous disais le contenu dans ma dernière lettre, et que l’éditeur Perrin vient de commencer à imprimer. Il compte le faire paraître au commencement d’octobre de notre style (dans 2 semaines à peine). La couverture portera une reproduction du dessin de Rièpine que vous connaissez. Il sera mentionné que les traductions sont faites avec votre autorisation si, toutefois, ce point resuite assez des termes de nos lettres et des traductions parues dans les revues, et que je vous ai envoyées? Ayez la bonté de me le confirmer, s’il y a lieu. Je serais heureux de vous parler immédiatement de droits d’auteur. Je ne manquerai pas de vous en envoyer... dès qu’il y en aura, mais ce ne sera guère, d’après les conditions, que j’ai dû accepter, avant l’épuisement d’une première édition, dont le prix de vente doit couvrir, avec un bénéfice insignifiant (75 francs), les “frais de fabrication” du volume et les tant pour cent de l’éditeur. Veuillez bien croire que j’ai tâché de faire pour le mieux. Je vous prie d’agréer, monsieur,...
4. Голлер Э. - Чехову А. П., 29 июня/11 июля 1899 г.
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Часть текста: А. П., 29 июня/11 июля 1899 г. 29 июня/11 июля 1899 г., Париж Paris, 11 juillet 1899 Милостивый государь Антон Павлович, maman m’a écrit hier que j’ai reçu deux livres de la Russie avant 14 jours 1 — et elle a deviné par qui — car elle connaît ma prédilection pour vous, милостивый государь. Permettez-moi de prendre vos deux mains dans les miennes et de vous dire un très gracieux: “Благодарю!”. Je me réjouis vivement à cette lecture de vos livres si longtemps désirés et je suis persuadée que j’en serai très enchantée, car vous avez un certain “je ne sais quoi” — qui attire mon âme irrésistiblement. Dernièrement j’étais chez Emile Zola, car, lui aussi, il a écrit quelques livres qui me sont très chers — le grand Ecrivain était très aimable pour moi, et nous avons causé quelques minutes ensemble — moi sans avoir le sentiment d’être une étrangère qui voit cet homme pour la première fois. Oh, comme je serais heureuse de pouvoir causer une fois dans ma vie avec vous, Милостивый государь! Здравствуйте, je pars lundi de Paris en Suisse — je quitte Paris, la France avec un serrement de cœur douloureux, car je l’aime tant, oh, tant! Adieu! Encore une fois: благодарю вас! Эльза Антоновна . ПИСЬМО Э. ГОЛЛЕР ЧЕХОВУ Париж, 11 июля 1899 г. Автограф Рис. Э....
5. Легра Ж. - Чехову А. П., 17/29 мая 1894 г.
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Часть текста: à ce qu’il semble 2 . En tout cas, je vous répète que la bouteille coûte 2 francs ici, si vous en prenez 150. Si donc vous voulez que le vin vous soit expédié à Moscou (Русская мысль), envoyez-moi 300 francs (par exemple en un chèque du Crédit Lyonnais, Кузнецкий мост) au cours actuel, cela fait environ 110 roubles. Vous aurez à payer en Russie l’entrée et le port qui, sans doute, reviendront à peu près au prix d’achat. — En tout cas, écrivez-moi sans retard et donnez-moi des instructions. Je sors de l’hôpital où m’a mis une assez grave chute de cheval. Je vais mieux et vous serre les mains, très cordiallement. Jules Legras . Перевод: Бордо. Улица Сольферино, 28 17/29 мая 1894 г. Дорогой мой Антон Павлович, Я получил, как уже писал Вам, рукопись Вашего рассказа 1 . Но до сих пор не получаю от Вас никакой инструкции относительно вина. Право, не стоило меня беспокоить и заказывать его через меня, если Вам оно не нужно было. Вы, русские, как кажется, с ужасающей быстротой меняете свои планы 2 . Как бы то ни было, повторяю Вам, что бутылка стоит здесь 2 франка, если Вы их...
6. Голлер Э. - Чехову А. П., 31 декабря 1900/13 января 1901 г.
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Часть текста: Голлер Э. - Чехову А. П., 31 декабря 1900/13 января 1901 г. 31 декабря 1900/13 января 1901 г., Будвейс Budweis , Bohême. Австрия 13. 1. 1901 . Voilà, милостивый государь, en relisant votre “Скучная история” dans ma traduction — j’ai l’idée de courir chez vous et de vous serrer les mains et de vous remercier de l’avoir écrit. Puis j’ai encore un sentiment — de tomber et de mourir pendant que je corrige ma traduction — ce serait le bonheur pour moi. — Peu des écrivains d’aujourd’hui sont des poètes et écrivains en même temps! — Bien à vous. Elsa Goller . Je lisais aussi Marc Aurel 1 , il est sublime !.. Перевод: Будвейс. Богемия. Австрия. 13/1 1901. Так вот, милостивый государь , перечитывая Вашу “ Скучную историю ” в своем переводе, мне вздумалось устремиться к Вам, дабы пожать Вам руки и поблагодарить Вас за то, что Вы ее написали. И, кроме того, у меня есть еще одно желание — упасть и умереть в то время, как я правлю свой перевод, — для меня это было бы счастьем. — Лишь немногие из нынешних писателей являются одновременно поэтами и писателями! — Преданная Вам Эльза Голлер . Я тоже читала Марка Аврелия 1 , он прекрасен!.. Примечания Рисованная открытка. 1 Возможно, “ответная” реплика на сетования профессора из “Скучной истории”, что молодежь не читает классиков, в том числе Марка Аврелия (7, 288).
7. Голлер Э. - Чехову А. П., 11/23 апреля 1899 г.
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Часть текста: une joie exclusive 1 , et je vous remercie mille fois de votre gentillesse si rare dans ce fin de siècle et si précieuse et recherchée dans tous les siècles. Ce sont seulement vos deux livres — “ Хмурые люди ” et “ В сумерках ” — qui me manquent et qui mon misérable éditeur ne veut pas me parvenir — dieu sait pourquoi, malgré mes cartes, lettres etc. que je lui envoie depuis le mois janvier. Si quelque chose nouvelle est parue par vous, милостивый государь, ayez, je vous prie, la bonté de me nommer le titre de cet œuvre. Je reste encore à Paris 3—4 semaines, — je serais heureuse de recevoir vos livres ici — mais je serais aussi très contente , si je les retrouve en retournant chez moi à Budweis. Faites selon votre volonté l’expédition ou à Paris, ou à B . Je voudrais aussi une fois vous faire une petite joie, — mais comment? Si je pouvais, j’arracherais des fleurs à pleines mains, des lilas blancs, des œillets, des roses, des lis, des violettes, surtout beaucoup de violettes, et je voudrais aller chez vous et changer à l’aide de ces fleurs votre cabinet de travail dans un somptueux paradis terrestre. V’là comme je suis drôle. Vous riez, милостивый государь? Eh bien, riez, riez, — je ris avec vous de tout mon cœur — parce que rien n’est plus ridicule qu’une femme qui s’enflamme d’un écrivain, d’un poète. On le dit — au moins chez nous. Et les “on dit” sont parfois vrais ! Hélàs... Est-ce que vous me permettez de vous tendre et...